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Le gouvernement devra investir massivement s'il veut réussir la stratégie nationale de soutien à domicile qu'il compte mettre en place éventuellement. L'étude de l'IRIS estime le financement annuel nécessaire entre 7 et 11 milliards$.

Les récentes déclarations de Christian Dubé, en entrevue lundi au Téléjournal de 18h à Radio-Canada, ont vivement fait réagir le président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ), le Dr Marc-André Amyot.

Chercheur au Réseau de recherche en santé publique du Québec et professeur titulaire au département de gestion, d’évaluation et de politique de santé à l’École de santé publique de l’Université de Montréal, Régis Blais s’est spécialisé dans l’utilisation optimale des ressources et des services de santé, les politiques pharmaceutiques, les variations de pratiques professionnelles et la gestion des ressources humaines notamment.

Professeur titulaire à la Faculté des sciences de l’administration à l’Université Laval, André Côté est responsable des programmes en gestion des services de santé et gestion pharmaceutique, mais aussi directeur scientifique du Centre de recherche en gestion des services de santé de l’Université Laval, en partenariat avec les quatre établissements de santé de la région de Québec.

Santé Québec entrera officiellement en fonction le 1er décembre prochain. Profession Santé a proposé à six experts en organisation et gouvernance de la santé de se glisser dans la peau de Geneviève Biron, la présidente et cheffe de la direction, et leur a demandé ce qu’ils feraient pour que la nouvelle agence soit une réussite.

Docteure en science politique, spécialiste de la privatisation de la santé, Anne Plourde est chercheuse à l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS).

Professeure adjointe en gestion et stratégie à l’École de santé publique de l’Université de Montréal, Elizabeth Côté-Boileau est experte en gouvernance des systèmes intégrés de santé.

Professeure adjointe en gestion de la santé et des services sociaux à l’École nationale de l’administration publique, Audrey L’Espérance est également responsable scientifique du Centre d’excellence sur le partenariat avec les patients et le public (CEPPP).