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Cette stratégie inclura le concept d’un observatoire national de ressources humaines en santé qui regroupera et analysera les données inter-professionnelles relatives aux ressources humaines et fournira des propositions factuelles aux gouvernements provinciaux afin de contribuer à l’élaboration de leurs politiques.

Même après l’arrivée de plusieurs dizaines de nouveaux facturants en omnipratique et en spécialité en 2010, il manquera 1100 omnipraticiens et presque autant de spécialistes pour combler les besoins de la province.

Le débat sur l'euthanasie est nécessaire, bien qu'il y ait un risque que certains enjeux à caractère social en soient exclus, estime une professeure de la Faculté des sciences infirmières de l'Université Laval spécialisée dans les questions éthiques entourant les soins palliatifs.

L’ampleur de l’écart qui sépare les médecins spécialistes et les omnipraticiens au chapitre de la rémunération est loin d’être reconnue par la Fédération des médecins spécialistes du Québec.

Contrairement au mode de fonctionnement du Conseil du médicament, qui analyse uniquement l'impact de l'introduction d'un nouveau produit dans la liste des médicaments remboursables, l'OPQ souhaite plutôt que l'INESSS étudie le système d'usage des médicaments dans son ensemble.

De toutes les régions éloignées du Québec, c’est la Côte-Nord qui a le plus grand nombre de postes de médecins spécialistes à offrir en vertu des PREM 2010, soit 37 au total. Dans les régions universitaires, c’est Montréal qui offre le plus de postes disponibles en 2010, soit 187.

Interpeller les médecins à devenir des modèles importants en matière d’environnement tant sur le plan professionnel que personnel, tel était l’objectif de la présentation du Dr Jean Zigby, le 13 novembre dernier, à l’Assemblée scientifique annuelle du Collège québécois des médecins de famille.

«Si on ne connaît pas la liste des médicaments d’un patient à l’admission, on risque de commettre une erreur qui perdurera tout au long de son hospitalisation.»