«Il ne serait pas avisé d’utiliser la méthode forte en nous imposant de prendre plus de patients sous peine de sanctions par l’adoption de la loi 20. (...) la solution coercitive que vous préconisez est un pari dangereux et contre-productif», écrit une médecin de famille.
«Continue (de travailler)! N'arrête pas!» m'a conseillé mon voisin. C’est drôle qu'il me dise cela, alors que la plupart de mes chums médecins ont déjà pris leur retraite et que mes chums de sport me trouvent plutôt bizarre... Comme si j’étais une anomalie.»
Pas moi. Du moins, pas avant de croiser le chemin d’Ophélie Boisvert. Cette jeune femme dégage une énergie contagieuse et un dynamisme inspirant. Pourtant sa réalité est tout autre. Comme quoi la maladie n’a pas de visage...
Mettons-nous d'accord sur les points les plus subtils concernant les raisons pour lesquelles les patients ressentent de la douleur et sur ce que nous pouvons faire pour y remédier.
«L’acétaminophène était en rupture l’année dernière. En ce moment, c’est l’aspirine… Original, générique, «source unique» ou non, tout est à risque», s'inquiète Christophe Augé.
«Je vous présente la vision d’un système qui reposerait sur sept grands piliers. Qui sait? Comme le dirait notre ministre de la Santé, peut-être qu’en «shakant» les colonnes du temple, on pourrait carrément les remplacer…», propose le Dr Mathieu Pelletier.