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Opinions

  • Nouvelle gouvernance: vers un choc frontal avec les valeurs du réseau de la santé

    «On vit un choc frontal entre les valeurs fondatrices du réseau public et les façons de faire qu’on implante à travers l’approche managériale dite "nouvelle gouvernance", axée sur la mise en concurrence», explique Guillaume Hébert, chercheur à l'IRIS.
  • Boulevard des poilus

    «Quand Paul a fait entrer le chien dans la maisonnée, le chat, de mauvais poil, s'est dressé les poils de la tête et Helena a rebroussé-poil, avec ladite bête sous les bras.»
  • Maladie honteuse

    «Imaginez un fléau si grave qu’il affecte la moitié d’une population. Un mal si puissant qu’il bouleverse nos vies, ravage nos familles et détruise nos existences. Une maladie si honnie que vous ne vouliez pas vous en occuper… et ne sachiez pas comment le faire!»
  • Des mimosas en janvier

    «Paul se retourne vers Samy. Il est sage comme une image. Il ne jappe pas. Il ne tire pas sur sa laisse. Il ne court pas après tous les chiens de la rue. Il n'est pas son chien abandonné qui ne l'aime pas. Il est l'autre. En mieux. En plus fin.»
  • Parizeau: une bellemèrisation qui remet le débat en perspective

    De telles paroles sont perçues différemment lorsqu'elles proviennent par un «militant de gauche» ou bien par un «économiste respecté». Dans le premier cas, on attaque aisément le «parfum idéologique» de gauche, mais dans le second, on doit réfléchir un peu plus. Lorsque l'on constate les similarités entre les positions de Parizeau et celles d'organisations et de militants associés à la gauche, on est pourtant forcé de prendre un temps d'arrêt.
  • Et si le Québec se dotait d’un régime public universel d'assurance-médicaments?

    «Le regroupement des cotisations permettrait d’économiser grâce au partage plus équitable des coûts. L’ajout des contributions du bassin de la population en santé actuellement couvert par des régimes privés allégerait le fardeau du régime public», écrit Sabrina Provost, représentante du MQRP.
  • J'habite chez mon chien (en psychanalyse)

    «Paul se trouve [...] nul de devoir partir au travail, après l'ingurgitation massive de cafés forts, de cigarettes à demi-consommées, de pensées positives de tout ordre, de citations littéraires de tout acabit, d'animateurs-radio de tout genre et de fantasmes, tout éros, pour faire face à TOUS ses patients.»
  • Entre rêves et réalité

    Le dopage (2e partie)
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