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Opinions

  • Des mimosas en janvier

    «Paul se retourne vers Samy. Il est sage comme une image. Il ne jappe pas. Il ne tire pas sur sa laisse. Il ne court pas après tous les chiens de la rue. Il n'est pas son chien abandonné qui ne l'aime pas. Il est l'autre. En mieux. En plus fin.»
  • Parizeau: une bellemèrisation qui remet le débat en perspective

    De telles paroles sont perçues différemment lorsqu'elles proviennent par un «militant de gauche» ou bien par un «économiste respecté». Dans le premier cas, on attaque aisément le «parfum idéologique» de gauche, mais dans le second, on doit réfléchir un peu plus. Lorsque l'on constate les similarités entre les positions de Parizeau et celles d'organisations et de militants associés à la gauche, on est pourtant forcé de prendre un temps d'arrêt.
  • Et si le Québec se dotait d’un régime public universel d'assurance-médicaments?

    «Le regroupement des cotisations permettrait d’économiser grâce au partage plus équitable des coûts. L’ajout des contributions du bassin de la population en santé actuellement couvert par des régimes privés allégerait le fardeau du régime public», écrit Sabrina Provost, représentante du MQRP.
  • J'habite chez mon chien (en psychanalyse)

    «Paul se trouve [...] nul de devoir partir au travail, après l'ingurgitation massive de cafés forts, de cigarettes à demi-consommées, de pensées positives de tout ordre, de citations littéraires de tout acabit, d'animateurs-radio de tout genre et de fantasmes, tout éros, pour faire face à TOUS ses patients.»
  • Entre rêves et réalité

    Le dopage (2e partie)
  • «Il faut aider les soignants à cultiver la présence thérapeuthique» -- Dr Thierry Janssen

    «Je rentre d’un colloque à Grenoble où des médecins et des infirmières se disaient noyés sous la paperasse, manquant de temps pour leurs patients au point de compter sur les femmes de ménage pour soulager la souffrance morale des malades», déclare le Dr Thierry Janssen, urologue belge devenu psychothérapeute.
  • Ma femme s'appelle Retour

    «Paul ne pouvait pas être docteur pour rien. Pour faire plaisir à sa maman (charmante par ailleurs dans ses 85 ans pétillants). Pour se conformer à son rang, à sa classe sociale. Pour procéder au pouvoir du monde. Pour accéder aux parvenus, aux bons revenus, aux bien repus. Paul devait être un docteur pour autre chose.»
  • L’invalidité et le mal-être

    Le niveau primaire de surmédicalisation: l’agir… (3e partie de trois)
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