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Opinions

  • Notre santé a un prix. Mais lequel?

    «Une leucémie, c’est en moyenne 20 000 % de marge brute», «Bien placé, un cancer peut rapporter jusqu’à 120 000 euros». Alors que les médias français s’emballent parce que la campagne de Médecins du Monde dénonçant le prix des médicaments s'est vu «censurée», je reçois un «cahier de recherche» montrant que les nouveaux médicaments ont permis d'éviter des milliards de dollars en dépenses hospitalières au Canada...
  • Pour en finir avec les frais accessoires

    Le mot de l'Association médicale du Québec
  • Sale temps pour les médecins

    «Les différends sur l’organisation et la rémunération relatives aux soins sont bien réels. Et ils sont d’une complexité folle. Sortir les omnipraticiens des urgences, par exemple, pour ajouter du temps en cabinet et enfin donner des médecins de famille aux patients orphelins — comme le souhaite le ministre — peut être une bonne idée à Montréal, mais l’être moins en région. Le diable est dans les détails. Et la bataille fait rage.»
  • La stupidité fonctionnelle dans le réseau de la santé du Québec

    «Quand les travailleurs constatent que la réalité du terrain est profondément différente des messages qui émanent du sommet de l’organisation, ils sont confrontés à ce qu’on appelle une dissonance cognitive. Ce que l’on observe n’est pas conforme à ce que l’on nous demande de voir. La stupidité fonctionnelle devient alors un mécanisme de défense pour essayer de protéger son intégrité physique et mentale.»
  • Lettre ouverte à la FMOQ: Ne sacrifions pas les nouveaux facturants!

    «Que tous les médecins de famille participent à la prise en charge est une chose; qu’on force un nombre minimum d’inscriptions à atteindre la première année en est une autre, d’autant plus que le nombre annoncé est utopique: inscrire 500 patients en 12 mois relève de l’exploit si on veut faire une prise en charge déontologiquement responsable…»
  • Les étudiants trouveront-ils un travail?

    Le grand chantier du ministre de la Santé occasionne parmi la relève en médecine et en pharmacie des inquiétudes qu’il devra calmer. Il n’est pas encore acquis à ce jour que les plans du ministre se traduiront par les résultats souhaités, c’est-à-dire plus d’accès à la première ligne, alors qu’à peu près tous les acteurs du réseau de la santé sont malmenés.
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