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Régine Laurent admet qu’au fil des ans, les directions des soins infirmiers se sont fait peu à peu « tasser » des prises de décision financières. «Et ce fut une erreur de notre part de ne pas avoir combattu cela.»

Invité par l'OPQ, il a pendant une heure donné son point de vue sur l’éthique et la rémunération des professionnels de la santé, entre autres celle des pharmaciens, puis il a répondu à des questions avec le style qu’on lui connaît dans ses tribunes téléphoniques.

Les infirmières de l'urgence de l'hôpital Pierre-Le Gardeur ont décidé de porter des pantalons de camouflage et des t-shirts aux couleurs de leur syndicat afin de protester contre leurs conditions de travail.

Bien que les discussions se poursuivent pour arriver à une entente, le ministre Barrette souhaite toujours que la Loi 41 entre en vigueur le 20 juin.

Plus de 700 pharmaciens propriétaires se sont déplacés pour entendre l’exécutif de l’AQPP faire le point sur les négociations, notamment sur une rencontre récente avec le ministre Barrette.

Pour favoriser le retour à l'équilibre budgétaire, le ministre de la Santé entend mettre en application une série de mesures, notamment réviser la pertinence de certaines indications pour des classes de médicaments utilisées à grand volume, comme les statines et les IPP.

Après une diminution de leurs honoraires imposée par le projet de loi 28, une autre pilule difficile à avaler attend peut-être les pharmacies communautaires si les recommandations du Commissaire à la santé visant à réduire les écarts entre le régime public d’assurance médicaments et les régimes collectifs privés sont adoptées.

Le projet de loi 28 a été adopté sous bâillon le 20 avril. Des amendements permettraient que, sous certaines conditions, des honoraires pour des services pharmaceutiques puissent être facturés à des patients couverts par un contrat d’assurance collective.