Étude: il faut resserrer les preuves d’innocuité des médicaments
Il faut resserrer les preuves d’innocuité que doit présenter l’industrie pharmaceutique avant de lancer un nouveau médicament. C’est en effet trop longtemps après leur commercialisation qu’on en détecte parfois les effets secondaires. Voilà ce que recommande le professeur Pierre La Rochelle, du Département de médecine familiale et de médecine d’urgence de l'Université Laval, après l'étude de 34 médicaments retirés du marché américain dans les dernières décennies.