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Alors qu’il n’y a jamais eu autant de moyens de communiquer, «le fossé entre les professionnels de la santé, les patients et les scientifiques se creuse», note le pharmacien Olivier Bernard, invité avec d'autres experts à s'exprimer sur le sujet lors d’un panel organisé par l’IRCM.

À l’approche des élections fédérales, l’Association médicale canadienne (AMC) exhorte les partis politiques à préciser ce qu’ils comptent faire pour améliorer le système de santé.

«Dans le contexte actuel d’explosion de possibilités diagnostiques et thérapeutiques, le concept de médecine à valeur ajoutée me tient particulièrement à cœur. Parmi les interventions que nous faisons, lesquelles améliorent réellement la santé ou le bien-être de nos patients?»

«J'ai vraiment du mal à dire non. Mes trois fils venaient toujours me voir quand ils étaient enfants parce que j’étais le parent facile. Je déteste la confrontation, je ne veux pas déplaire. Je suis une poule mouillée passive agressive. Mais j'ai appris à dire non et à établir des limites avec mes patients et mes collègues.»

Malaise à l'Assemblée nationale mardi: la ministre de la Santé, Danielle McCann, a été forcée d'admettre, en pleine séance, qu'elle a déjà appuyé la réforme Barrette.

Le Conseil du trésor a approuvé la demande de la création du titre de technicien en pharmacie. Le ministère de l’Éducation a quant à lui publié des offres d’emploi afin d’entamer les travaux d’élaboration d’un programme d’études collégiales.

Les patients consultent aussi bien leur médecin de famille que Dr Google pour s'informer sur leurs maladies chroniques, selon un rapport d'évaluation de l’INSPQ. Ce n'est plus le cas quand il est question de vaccination contre le grippe.

Ces organisations demandent l'adoption rapide d'un décret provisoire pour mettre un terme au marketing des produits de vapotage, limiter les arômes disponibles et réglementer la teneur en nicotine.