«Je sens que les jeunes ont beaucoup de réticences envers la pratique en cabinet par crainte de la lourdeur administrative. C’est un aspect de la question auquel on pense moins souvent.»
Des dizaines de milliers de Montréalais risquent de venir grossir les rangs, déjà très nombreux, des patients orphelins de la métropole si les médecins de cabinet, qui vont partir dans quelques années, ne sont pas remplacés.
«Une jeune consœur m’a déjà dit que, pour elle, exercer en cabinet était ce qu’il y avait de plus épuisant et qu’elle avait l’impression de se reposer quand elle faisait de l’urgence et de l’hospitalisation.»