Les professionnels de la santé ne devraient éprouver aucune crainte à conseiller à des fumeuses enceintes de se tourner vers une thérapie de remplacement de la nicotine (TRN).
Sur le plan médical, les symptômes du patient sont maîtrisés, les tests sont bons, tout baigne en somme. Pourtant, le patient ne va pas bien, et l’on ne trouve rien à l’investigation.