Interprofessions

Un chirurgien, une pharmacienne et une infirmière ont accepté de témoigner de leurs erreurs.

Par honte, par crainte de nuire à leur carrière ou par vanité, les soignants ne parlent pas aisément des erreurs professionnelles qu’ils commettent. Un silence qui peut laisser des séquelles psychologiques et empêche de capitaliser sur ses fautes pour éviter qu’elles ne se reproduisent.

Beaucoup d’établissements de santé doivent composer avec d’importantes pénuries d’infirmières et peinent à combler les départs et les postes vacants.

La pénurie d’infirmières frappe les hôpitaux de plein fouet. Pourtant, on n’a jamais autant compté de diplômées et d’infirmières en pratique, selon les chiffres de l’OIIQ. Que se passe-t-il?

L’Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) emboîte le pas aux ordres professionnels des médecins et des infirmières et décide de suspendre le permis de pratique des pharmaciens qui ne sont pas vaccinés adéquatement contre la COVID-19 à compter de vendredi.

Le déploiement du conseil numérique, déjà à un stade avancé, se poursuit. Le ministère de la Santé aspire à ce que toutes les régions de la province bénéficient de ce service dès ce mois-ci.

Alors que la pénurie d’infirmières est criante dans le réseau public, Québec veut accélérer la formation universitaire de ces professionnelles afin qu’elles arrivent plus rapidement sur le marché du travail.

Si le sujet a longtemps été une source de division dans le milieu médical, une majorité d’associations du domaine de la santé souhaite désormais que les infirmières décrochent un diplôme universitaire pour pratiquer.