Étudiants / résidents

L'Université Laval veut former des médecins mieux équipés pour travailler en interdisciplinarité et davantage disposés à mieux se servir des technologies. Tel est l’objectif de la nouvelle chaire de leadership en enseignement (CLE) en pédagogie des sciences de la santé, que vient de lancer l’institution.

Christopher Lemieux, président de la Fédération des médecins résidents du Québec, estime que la pression constante exercée dans le réseau de la santé laisse à penser que le pourcentage de résidents intimidés par un professionnel de la santé n’ira pas en diminuant. Le cycle d'intimidation semble en effet se perpétuer de génération en génération.

Avec près de 400 nouveaux postes à pourvoir à travers la province, les PREM 2017 ne causeront pas de maux de tête aux finissants en médecine familiale. Toutefois, cette époque tire à sa fin.

Près du tiers des résidentes se font demander si elles ont des enfants, ou veulent en avoir dans un avenir rapproché, quand elles postulent pour un poste dans le réseau de la santé, dénonce le président de la Fédération des médecins résidents du Québec.

Les futurs étudiants en santé devront faire preuve d’empathie, d’intégrité et accepter la critique s’ils comptent être admis à l’Université de Montréal, soucieuse de former des professionnels de la santé plus «humains».

Les résidents en médecine ont de la difficulté à trouver des postes au Québec, ce qui les force à aller faire des formations à l'extérieur du pays en attendant de se voir attribuer du travail.

Après des années de vache maigre marquées par un net désintéressement, la gériatrie a pris du galon auprès des étudiants et des établissements. Cette année, le nombre de candidats à la résidence était supérieur à la quantité de postes disponibles dans les quatre facultés.