Éditoriaux

Il y a quelques mois, la Direction de santé publique de Montréal a dévoilé un cadre de référence pour préciser la place du pharmacien d’officine dans les activités de prévention d’une communauté. Or, les interventions de santé publique ne s’inscrivent pas de façon naturelle dans l’organisation du travail d’une pharmacie communautaire.

«Bien souvent, dans nos pharmacies, les murs sont blancs, les tablettes sont blanches et les pots de pilules sont blancs. Quoique cela donne l’apparence d’une sainte propreté, d’un sain professionnalisme, cela met l’équipe de pharmacie sur un genre de piédestal et crée un environnement plus ou moins réaliste...»

À l’ère de l’électronique, après une interactivité 2.0, il faudra penser à une interactivité 3.0, celle qui va permettre à tous d’accéder aux différentes plateformes de formation, et aux fabricants de contenu d’élargir leur présence électronique.