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Depuis la diffusion du reportage de l'émission Enquête à Radio-Canada, le 15 février dernier, de nombreux médecins et pharmaciens ont eu droit à des questions ou des demandes d'aide de patients très inquiets...

«S’il y a une chose que j’ai comprise afin de «survivre à la dépression», c'est que ça ne sert à rien de lutter contre un vent de face qui souffle de plus en plus fort (réformes en santé successives). Il y a tellement de choses que l’on ne contrôle pas!»

La main-d’œuvre est le maillon faible de plusieurs systèmes de santé à travers le monde parce que le secteur de la santé est mauvais pour prédire et former le bon nombre de travailleurs de la santé.

«Ce pharmacien a sans aucun doute marqué la mémoire collective de notre profession. Si aujourd’hui, je peux entrevoir ma future pratique clinique, c’est grâce à des acteurs de changement qui sont allés au front», reconnaît Clara Scattolin.

«Pourquoi tant de Québécois ont-ils recours à l’AMM? C’est comme si, passé un certain âge, affligé par la maladie, rendu à un certain point, on considérait que la vie n’avait plus de raison d’être. Comme s’il n’y avait aucune raison d’endurer son sort pour gagner son ciel, comme on le faisait autrefois.»

«Mon grand rêve de faire de la médecine dans mon village est malheureusement sur le point de prendre fin. Ce n’est pas le plan de match que j’avais en tête. C’est même à des années lumières de tout que j’avais espéré», confie le Dr Langlois dans son nouveau blogue.

«Je suis toujours surpris par le nombre élevé de recommandations que les diverses sociétés savantes réussissent à formuler. Qui donc, à part l’IA, peut retenir tant d’avis? Pas moi...Ce qui m’amène au Petit catéchisme...»

«Voyez-vous, notre job, c’est plus qu’une job. Ça fait partie intégrante de notre identité. Ça pave le chemin qu’on a décidé de prendre avec nos bottines», écrit la Dre Cynthia Lauriault dans son premier billet.