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Comment opérer quand le patient n’a plus confiance? Voilà le dilemme auquel ont dû faire face les chirurgiens anglais. Plutôt que de s’y résoudre, ils ont décidé de jouer la carte de la transparence.

Le mot du président de la Fédération des médecins résidents du Québec

Aujourd’hui, les médecins doivent accepter que ce «qu’ils font n’est pas toujours dans l’intérêt du patient». Ce qui entraîne une dichotomie entre le rôle de soignants des médecins et leur rôle professionnel.

«[L’ordonnance collective] ne devrait jamais être considérée comme un outil de mise en marché des médicaments. De telles situations sont de nature à semer un réel doute autant sur l’intérêt par un professionnel d’utiliser une telle ordonnance que sur la nature des relations médecin-pharmacien entourant l’utilisation de ce genre d’ordonnances.»

Un fabricant de médicaments a transmis à des pharmacies communautaires des ordonnances collectives pour transférer un médicament X vers un médicament Y chez une population visée et pour amorcer un médicament sur ordonnance pour traiter une condition mineure. L'OPQ fait le point.

M. Barrette s'est dit «déçu» de l'attitude du DG du CHUM. «On me demande de l'aide. Qu'on ne vienne pas critiquer la forme d'aide que je propose», a-t-il lancé.

Le projet de loi 28 a été adopté sous bâillon le 20 avril. Des amendements permettraient que, sous certaines conditions, des honoraires pour des services pharmaceutiques puissent être facturés à des patients couverts par un contrat d’assurance collective.

Gaétan Barrette dit ne pas vouloir obliger les médecins en pratique à se joindre à un GMF, mais il a exprimé la volonté que les jeunes médecins se dirigent principalement ou même totalement en GMF.