Les pharmaciens occupent une position stratégique pour contribuer à la gestion des opioïdes, mais les rôles qu'ils assument varient grandement. L'éducation, l'ajustement de la pharmacothérapie ou la définition de lignes directrices en sont des exemples.
Tentant de calmer le jeu, le ministre de la Santé, Christian Dubé, a promis que son gouvernement changera de ton avec les médecins de famille sur la prise en charge de patients.
Seul. C’est la façon dont se sentent la plupart des étudiants, résidents et médecins. Pourtant, ils n’en parlent pas, déplore la Dre Melissa Yuan-Innes, qui rappelle l'importance de s'ouvrir aux autres.
Dans son prochain numéro, Profession Santé consacrera tout un dossier à l’enjeu de l’accès aux soins de première ligne. Plutôt que pointer les défaillances et des responsables, nous voulons mettre de l’avant des idées et des initiatives inspirantes, issues du terrain, pour résoudre ce problème.
Contrairement aux médecins, les pharmaciens ne risquent pas de quitter massivement pour la retraite dans les prochaines années et ainsi exacerber la pénurie de main-d’œuvre déjà importante dans certains milieux.
Des erreurs, le Dr Sherif Emil en a commis au cours de sa carrière, ni plus ni moins que ses collègues chirurgiens. Mais à la différence de la plupart d’entre eux, il en a parle facilement et ouvertement.
Alors que la surcharge de travail et le stress affectent plusieurs pharmaciens, l’Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) propose à ses membres une façon d’organiser leur travail afin de mieux gérer les priorités et d’avoir plus de temps.
En moins d’une semaine, le nombre de médecins non vaccinés contre la COVID-19 a fondu de moitié, passant de 580 à 290, a confirmé le Collège des médecins du Québec (CMQ).