La présidente et cheffe de la direction de Santé Québec, Geneviève Biron, dit avoir «entendu le cri du cœur de plusieurs employés en situation de double emploi».
Selon l’étude, les francophones en situation de discordance linguistique avaient un taux de prescription d’antipsychotiques potentiellement inappropriée 15% plus élevé que les anglophones.