Quand les femmes «normales» s’invitent à la parade
« Le problème, c’est qu’on subit la dictature d’un modèle unique de beauté, selon des critères artificiels: en gros, celui de la jeune fille prépubère, photoshopée, anorexique, blanche et adoptant une pose hypersexualisée», déclare Lydya Assayag du RQASF.