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Opinions

  • La rémunération des médecins: les justifications démystifiées pour le bien collectif

    Texte initialement publié dans son intégralité par le HuffPost Québec.
  • L’importance de l’image

    «Pourquoi les médias sont-ils avides des cas de déontologie de l’Ordre des pharmaciens ? Parce qu’ils ne nous aiment pas ? Bien sûr que non, le but d’un journal étant d’être lu, certains d’entre eux veulent choquer, et les cas de discipline de l’OPQ répondent à ce critère pour une simple raison : notre profession est basée sur la confiance. Si nous perdons cette confiance, nous ne servons plus à rien.»
  • Enfants de médecin: comment leur faire garder les pieds sur terre?

    Trois médecins expliquent la façon dont ils s'y prennent pour que leurs enfants gardent le sens des réalités, en dépit de leur situation privilégiée.
  • Nouveaux médicaments: des délais trop longs avant leur remboursement, juge l’IEDM

    Le délai entre l’approbation d’un nouveau médicament par Santé Canada et le remboursement par les assureurs publics est beaucoup trop long, dénonce l’Institut économique de Montréal (IEDM), qui croit que la récente réforme du Conseil d’examen du prix des médicaments brevetés empirera la situation.
  • Quand les assureurs font de la médecine

    «Tout ce que vous prescrivez pourra être retenu contre votre patient. Vous proposez à Isabelle H. du candésartan pour traiter sa migraine. Mais, puisqu’il est généralement prescrit dans des cas d’hypertension artérielle, pour l’assureur, Isabelle a probablement un problème cardiaque. Un agent d’indemnisation pourrait décréter « trouble préexistant » lors d’une éventuelle réclamation.»
  • Propos de Denise Bombardier: Diane Francoeur contre-attaque

    La présidente de la Fédération des médecins spécialistes du Québec, Diane Francoeur, a vivement réagi aux propos de la chroniqueuse Denise Bombardier qui accusait les médecins de vouloir être «plus que riches» dans deux textes publiés dans le Journal de Montréal le 10 et le 12 mars.
  • «Dessine-moi un système de santé»

    Il devient incontournable de retourner à la planche à dessin, d’y convier des représentants de tous les groupes impliqués dans le système de santé et de le faire dans l’objectif principal, sinon le seul, de dessiner «le système de santé idéal» pour la population pour les cinquante prochaines années avec des processus constants d’ajustement et d’amélioration afin d’éviter que l’on doive constamment intervenir comme on l’a fait durant les dernières années, à la pièce, de bouleversement en bouleversement, en éteignant les feux sans être en mesure de les prévenir.
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