Opinions

Bon nombre de patients contacteront uniquement leur pharmacien s’ils ont des questions à propos des médicaments en vente libre (MVL). Or, les médecins s'avèrent de précieux conseillers à cet égard. Participez à un sondage pour nous aider à comprendre les raisons pour lesquelles les patients devraient vous consulter, mais ne le font pas toujours.

Les médecins québécois se sentent largement en confiance dans la relation professionnelle qu’ils entretiennent avec les pharmaciens lorsqu’il est question des MVL. Les patients aussi.

Publié par la Société québécoise des médecins de soins palliatifs, le manifeste du médecin montréalais compte déjà plus de 500 signatures.

«Au retour de mes vacances, j’apprenais que les membres de l’AQPP avaient accepté d’entériner l’entente de principe [...]. Cette entente intérimaire inclut l’ajustement des tarifs des actes effectués par les pharmaciens qui n’avaient pas été ajustés depuis 2013, ainsi que l’introduction graduelle de nouvelles activités cliniques à valeur ajoutée...»

«Pourquoi autant de mes patients issus du milieu de la santé à Montréal présentent-ils un niveau de détresse émotionnelle si inquiétant? Ce qu'ils me confient illustre bien à quel point les professionnels de la santé ont été touchés par le projet de loi 10 du ministre de la Santé, Gaétan Barrette.»

En cette période de campagne électorale au Québec, le désir de changement est perceptible. Toutefois, la meilleure façon d’y parvenir est-elle de remplacer le gouvernement libéral par la CAQ?

De nouvelles études mettent en lumière les taux élevés de dysfonctionnement cérébral aigu – ou delirium – chez les patients qui subissent des traitements en unité de soins intensifs hospitaliers. Que peut-on faire en prévention?

«Le ministre Barrette rapportait que les pharmaciens n'avaient pas utilisé tout le budget octroyé pour les différentes consultations qu'ils peuvent donner. Le fait qu'il s'en étonne me surprend grandement. Puisque ces consultations étaient censées désengorger les cliniques médicales, il fallait les couvrir à 100% par l'assurance maladie!»