«Cette féminisation de la profession a des implications plus grandes que le simple fait d’être une jolie statistique. Le gouvernement doit absolument en tenir compte dans un plan éventuel de réorganisation des soins», soutient la présidente de l'AMC.
Un patient récemment revenu d’un voyage en Inde s’est présenté à la clinique du Dr Robert Dickson en raison d’une éruption particulière: «Je n'aime pas vraiment le mot “récurrent”... Vous dites que je peux donc avoir cette éruption à nouveau?»
«N'y aurait-il pas une opportunité pour l'Occident de supporter non pas l'industrie pharmaceutique, mais l'industrie chimique productrice des matières premières essentielles pour l'autosuffisance en matière de médicaments dans le monde occidental?»
«Il était là, couché sur le dos, habillé d’un simple pyjama, hospitalisé, malade, à regarder par la fenêtre. Un moineau est venu se poser sur la branche. Ah! Si je pouvais aller mieux…», relate le Dr Ladouceur.
«Quand comprendrons-nous que la santé et le bien-être de la main-d’œuvre ont une incidence directe sur la qualité des soins et la qualité de vie des bénéficiaires? Pourtant, nos gouvernements ne se sont jamais attaqués adéquatement à ce grave problème.»
«La fin de l'année 2021 a marqué la fin d’un chapitre relatant de nombreux événements dans ma vie et dans le monde. Le plus important pour moi a été l'achèvement de mon fellowship après 11 ans et demi de formation médicale», convient la Dre Mills.
«J'ai un patient qui a été arrêté par la Police. On l'aurait intercepté parce qu'il conduisait de façon erratique. Il paraît qu'il zigzaguait sur la route. Notant qu’il avait la voix empâtée, les agents lui ont fait passer un alcootest qui s’est révélé négatif...»
Le Dr Vincent Demers relate sa récente virée en 1970 à l'occasion d'une endoscopie dans un hôpital. Une expérience anachronique entre incongruité, absurdité et promiscuité.