Opinions

Le virus est présent depuis le printemps. Comment se fait-il que nous ne soyons pas encore prêts ?

Voici en quelques mots le profil professionnel de notre nouvelle blogueuse, Hélène Blanchette.

Voilà, je suis prête. J’ai lu le guide Autosoins, j’ai mis en place les mesures préventives recommandées à la maison et à la pharmacie, je suis une des vaccinées privilégiées, mes enfants sont « purellisés » de haut en bas, je regarde les reportages à la télé, les données épidémiologiques quotidiennement mises à jour, tout est en place.

Une entrevue exclusive de Profession Santé Québec avec Leona Aglukkaq.

Au-dessus d’une porte donnant accès aux salles d’opération de l’hôpital de rôle 3, une pancarte porte la mention « Institut de chirurgie de Kandahar ». Les médecins et autres professionnels qui font leur service dans cet « institut » sont désireux de rapporter chez eux les leçons dramatiques mais incomparables qu’ils ont apprises ici pour les mettre en pratique dans les hôpitaux où la plupart reprendront leurs fonctions, partout au pays.

La perte d’un statut particulier aurait-elle affecté notre capacité de prendre la parole ? La spécialisation de plus en plus poussée de notre formation nous priverait-elle de la vue d’ensemble requise pour intervenir ? Ou est-ce d’avoir l’impression de ne plus influencer véritablement les politiques de santé ? Voire notre difficulté à nous ouvrir… aux autres professions ?

L’idée d’un site où je pourrais échanger avec des confrères et des consœurs, avec d’autres professionnels de la santé me sourit beaucoup ! J’ai envie de partager avec vous des réflexions, des informations, des situations parfois dérangeantes, des idées et, surtout, de vous lire.

Une entrevue avec le Dr Alain Poirier, directeur national de la santé publique