«Un médecin de famille et une étudiante en médecine n’ont pas hésité à interrompre une conférence de presse du ministre fédéral Joe Oliver pour dénoncer les compressions dans le Programme fédéral de santé intérimaire pour les réfugiés.»
«L’Association des allergologues et immunologues du Québec (AAIQ) est actuellement très préoccupée par la désinformation concernant la désensibilisation sublinguale en phase liquide. Nous tenons à réagir à l’article publié dans le dernier numéro de L’actualité médicale puisque nous faisons face à un phénomène médiatique inquiétant qui cause de la confusion tant dans la communauté médicale que dans la population.»
«Mes collègues et moi, nous nous entendons à l’effet que l’immunothérapie sublinguale constitue « la voie de l’avenir » en allergologie. La possibilité de juguler certaines allergies respiratoires simplement en plaçant des antigènes sous la langue une fois par jour facilite grandement les choses pour nos patients. Plus sécuritaire que les vaccins traditionnels, cette pratique nous permet également de tenter de guérir plus de gens allergiques.»
Nous publions ici la réaction des Drs Rémi Gagnon et Jacques Hébert à l'article publié dans le MedActuel DPC intitulé «L’immunothérapie sublinguale débarque chez nous : une nouvelle donne en allergie» (numéro du 25 avril). Nous publions également la réponse du Dr Guy Tropper, auteur de l'article en question.
«Pas facile, du haut de son bureau administratif, avec sa belle fenêtre au centre-ville, de penser aux régions défavorisées, ailleurs que dans des discours ou devant la télé!»
Les ruptures d’approvisionnement de médicaments injectables ne représentent que l'un des défis auxquels ont été confrontés les pharmaciens d'établissements récemment. Entrevue avec le président de l'APES.
«Si on obligeait les futurs résidents à donner des années de service après les études, je parie que le nombre d'étudiants qui iraient faire leur résidence ailleurs augmenterait pas mal et qu'il y aurait encore plus de postes de résidence en médecine familiale non comblés.»
J’ai perdu Madame L. À 96 ans, elle descendait encore à la pharmacie régulièrement pour acheter de petites choses. Toujours chic sur son triporteur, elle avait fini par oublier mon nom dans les dernières années.