Substitution d'un biologique par un biosimilaire: peu de données sur l'innocuité, conclut l'INESSS
Alors que Québec favorise l’utilisation des biosimilaires afin de réduire la facture des médicaments, très peu de données sont disponibles sur l’innocuité de la substitution d’un médicament biologique à un biosimilaire, conclut un rapport de l’Institut national d’excellence en santé et services sociaux.