En négociations depuis juin 2011 et après 23 rencontres depuis septembre 2012, le Regroupement Les Sages-femmes du Québec exige que Québec règle le dossier.
Seulement une femme sur quatre en âge de procréer ou à son premier mois de grossesse consommerait de l'acide folique en respectant les dosages recommandés.