Les médecins pensent qu'ils font un excellent travail de prescription et d'ajustement des médicaments, mais la réalité est que certains patients ne les prennent tout simplement pas, observe le Dr Hector Baillie.
Une nouvelle étude française publiée dans l’European Journal of Preventive Cardiology a révélé que l’alimentation émotionnelle est associée à des problèmes cardiovasculaires, le stress contribuant à cette corrélation.
Une analyse post-hoc, un essai randomisé et contrôlé par placébo pour la prévention primaire du cancer et des MCV, a montré que le poids corporel modifie le métabolisme et la réponse à la supplémentation en vitamine D.
Lorsque nous ne parvenons pas à répondre aux besoins de nos patients, sans les faire souffrir, il n’est pas surprenant que le civisme soit mis à mal, observe le Dr Alykhan Abdulla.
L’OMS recommande 150 minutes d’activité physique par semaine. Des experts canadiens estiment qu’il en faut moins pour commencer à en ressentir les bienfaits.
Certains facteurs peuvent perturber le microbiote, comme l'alimentation, la consommation d’alcool, de la prise d’antibiotiques et des maladies inflammatoires de l’intestin. Ces «dysbiose» sont associées à un large éventail de maladies chroniques.
Ce chiffre représenterait 1,6% du fardeau économique de la maladie au Canada. Cela comprend des coûts directs, comme ceux imputés au système de santé, et des coûts indirects, comme la productivité perdue à des problèmes de santé.
Ces conclusions représentent un «réveil un peu brusque» pour les Canadiens qui se confortent à penser que leur alimentation, si elle n'est pas parfaite, reste à tout le moins de meilleure qualité que celle de leurs voisins du Sud.