Surgery

L’accès à la chirurgie oncologique dans un délai inférieur ou égal à 28 jours s'est amélioré, mais pas assez pour envisager d'atteindre prochainement la cible ministérielle.

La chef du département de chirurgie générale de l’Hôpital général Lakeshore s’est vu imposer une radiation de deux mois et une amende de 15 000$ pour avoir négligé «de rédiger ou de dicter son protocole opératoire dans un délai conforme aux normes et standards de pratique».

Un chirurgien orthopédiste déplore la pression exercée sur les médecins spécialistes pour atteindre les cibles du ministre Barrette d'ici la fin du mois tout en dénonçant l'impossibilité d'y parvenir pour des raisons hors de leur contrôle.

La Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) s’attaque à la Loi 130 dans une publicité diffusée en fin de semaine dernière dans plusieurs journaux quotidiens.

Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, est «scandalisé» par les primes à la ponctualité versées aux médecins spécialistes qu'il a lui-même négociées. Il a ainsi réagi aux informations voulant que les membres du corps médical peuvent recevoir un boni de plus de 100 $ pour que les blocs opératoires ouvrent bien à 8 h 00 du matin.

Le dépistage n'a pas fait ses preuves pour prévenir l'apparition du cancer du sein ou des ovaires chez les femmes à risque. Toutefois, plusieurs options chirurgicales s'offrent à elles, notamment l'ablation des trompes de Fallope. Explications de la Dre Marie Plante, gynécologue oncologue et chef du service de gynéco-oncologie au CHU de Québec.

Si le nombre de cas signifiés de lymphome anaplastique à grandes cellules associés aux implants mammaires (LAGC-IM) est en hausse partout dans le monde, il reste très faible au pays, selon un examen de l’innocuité mené récemment par Santé Canada.