Public Health & Preventive Medicine

L'INESSS a effectué une revue systématique ciblant l’efficacité de l’alimentation de type méditerranéen comme mesure préventive des maladies cardiovasculaires. Après analyse de «67 publications, les résultats montrent que le risque d’événements cardiovasculaires mortels et non mortels est réduit de 38 % à 45 %, par rapport au risque de personnes qui se contenteraient de réduire les matières grasses ou ne changeraient rien à leurs habitudes alimentaires.

Samedi dernier, la Dre Joanne Liu a été réélue à la tête de Médecins sans frontières (MSF). La pédiatre du CHU Sainte-Justine briguait un deuxième mandat consécutif. Sa réélection est une première dans l’histoire de l’organisme.

Selon le tiers des répondants, il faudra attendre l’ouverture des premières cliniques avant de pouvoir juger de l’efficacité de ce nouveau modèle.

Sandoz Canada a obtenu le feu vert de Santé Canada pour commercialiser au pays de la naloxone sans ordonnance en pharmacie sous l’appellation de S.O.S. Naloxone Hydrochloride Injection.

Les connaissances et les traitements en matière d’asthme et de MPOC ont beaucoup évolué au cours de la dernière décennie. C’est ce qui a conduit les pneumologues Julie Milot, François Maltais et Louis-Philippe Boulet, appuyés de l’infirmière Hélène Boutin, de l’Institut universitaire en cardiologie et pneumologie de Québec (IUCPQ), à produire deux mises à jour de leurs ouvrages parus il y a près de dix ans.

Le curateur a dévoilé lors d’une conférence de presse les résultats d’un sondage sur le mandat de protection. Le recours au mandat est en progression depuis 2010, mais le le sondage met en lumière un fait troublant: «Les Québécois en effet restent plus enclins à préparer ce qui entoure leur mort avec le testament qu’à prévoir ce qu’il adviendra d’eux en cas d’inaptitude avec le mandat de protection.»

Si l’on en croit les chiffres du ministère de la Santé, de 2011 à 2015, les médecins de famille québécois auraient travaillé en moyenne de 5 à 7 jours de moins par année que leurs collègues spécialistes. Il ressort aussi que le nombre de journées travaillées est en baisse aussi bien chez les premiers que chez les seconds.

Bien qu’elle se dise consciente que le délai d’un an soit perçu comme étant encore excessif par certains Canadiens, la ministre fédérale de la Santé, Jane Philpott, a déclaré que cette mesure constitue tout de même un pas dans la bonne direction.