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La crise des opioïdes, qui a fait couler beaucoup d’encre dans les dernières années, aurait produit un impact important dans la vie de personnes souffrant de douleur chronique, notamment en raison des difficultés d’accès à un traitement à base d’opioïdes, tend à démontrer un récent sondage du Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CRCHUM).

Les points de service «Aire ouverte» visent à aider les jeunes de 12 à 25 ans à surmonter leurs problèmes en santé mentale, en adaptation sociale ou de dépendance. Psychologues, travailleurs sociaux, infirmières et médecins omnipraticiens feront partie des équipes.

Le gouvernement fédéral doit aux professionnels de soins de santé l’assurance qu’ils seront rémunérés pour les traitements inattendus que tout visiteur pourrait recevoir pendant son séjour.

Nabil G. Seidah, directeur de l’unité de recherche en biochimie neuroendocrinienne de l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM) s’est récemment vu décerner trois distinctions pour ses travaux de recherche sur la protéine PCSK9.

Les patients qui prennent de l’azithromycine (Zithromax) à long terme après une greffe de cellules souches pour traiter un cancer du sang ou des ganglions risquent une possible récidive de cancer, avertit Santé Canada.

Trois Canadiens sur quatre estiment que les nouvelles technologies, telles que l’intelligence artificielle et les consultations virtuelles, pourraient résoudre certains des problèmes actuels du système de santé, selon les résultats d'un sondage commandé par l’Association médicale du Canada.

«Il est urgent que les soins liés au cancer, à l’heure actuelle centrés sur la maladie, soient dorénavant centrés sur la personne. Les besoins physiques, émotionnels et pratiques des patients doivent être directement comblés à tous les stades de la maladie, y compris pendant la période de rémission.»

Une infolettre de la Coalition solidarité santé encourage ses membres à diffuser les vignettes concoctées par l’Union des consommateurs pour exiger une assurance médicaments 100% publique. L'une des vignettes compare l’honoraire professionnel du pharmacien au public et au privé avec la mention: «Payer des honoraires de pharmacien si élevés au privé, c’est inacceptable.»