La Presse annonçait le 26 août la fin de l’entente, mais la clinique privée, puis le ministère de la Santé et des Services sociaux ont déclaré qu’il n’en était rien.
«J’écris cette lettre parce qu’à la suite de la démission récente de plusieurs directeurs régionaux de santé publique, je suis profondément préoccupé par les processus de nomination concernant leur remplacement.»
«Lorsque des protocoles de gestion des commotions cérébrales adéquats sont en place, le nombre réel de commotions correctement repérées est multiplié par cinq», signale le Dr Pierre Frémont, président de la Collaboration canadienne pour les commotions cérébrales.
«Nous sommes tous à risque de souffrir des conséquences du surdiagnostic et du surtraitement, et bien des médecins se sentent aussi piégés par un système qui les pousse à trop en faire.»
Il est temps de donner aux patients l’accès complet à leur dossier médical, allègue la Dre Kirsten Patrick dans un éditorial publié le 14 juillet dernier dans le Journal de l’Association médicale canadienne.
La ministre fédérale de la Santé, Rona Ambrose, a demandé la collaboration des médecins afin de résoudre «le problème grandissant de l'abus de médicaments d'ordonnance».