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Alors que les délais pour consulter en gastroentérologie augmentent, il peut être pertinent pour les médecins de première ligne de revoir le diagnostic du syndrome du côlon irritable (SCI), qu'ils peuvent effectuer en suivant les critères diagnostiques et en surveillant les signes d'alarme.

Au total, 120 nouveaux postes en médecine interne seront créés d’ici 2025, dont 75 en 2021. Même si toutes ces places ne seront pas comblées d’ici un an, pour les établissements qui réclament des internistes, il y a tout de même lieu d’espérer. La situation devrait grandement s’améliorer dans un proche avenir, croit le président de l’Association des spécialistes en médecine interne du Québec.

L’INSPQ maintient pour le moment ses propres recommandations pour freiner la propagation du coronavirus, car ce sont celles toujours en vigueur dans la majorité des lignes directrices consultées.

Lorsque des pharmacies participantes de l’Alberta et de l’Ontario ont commencé à administrer des tests de dépistage de la COVID-19 à des personnes asymptomatiques, les techniciens en pharmacie se sont empressés de prêter main forte pour gérer la charge de travail supplémentaire.

Les patients atteints de la maladie de Parkinson, en particulier ceux des communautés rurales, bénéficieraient d’un accès aux soins de télésanté, selon les recherches du campus Okanagan de la Faculté de médecine de l’Université de la Colombie-Britannique .

À moins d’imprévus, c’est en janvier 2021 que le «conseil numérique», une application sécurisée qui permettra à des médecins de famille de demander l’avis d’un médecin spécialiste et d’obtenir une réponse rapidement, sera déployé à travers la province. Quelques dizaines de médecins québécois ont déjà pu expérimenter l'outil avec succès grâce à des projets pilotes. Voici les témoignages d'une médecin de famille et d'un gynécologue.

Après la télémédecine, dont l’usage a explosé cette année au Québec en raison de la pandémie, un autre pas s’apprête à être franchi avec le déploiement à l’échelle provinciale du «conseil numérique». Ce mécanisme permet à un médecin de famille de demander un conseil ou un avis à un spécialiste via une plateforme numérique et d’obtenir une réponse en sept jours ou moins.