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À partir du milieu des années 1980, les réseaux de santé canadiens ont été le théâtre de profonds changements qui visaient à «désengorger les hôpitaux», et qui ont provoqué le déclin, jusqu'à aujourd'hui, du nombre de lits d'hospitalisation.

Si l’intelligence artificielle prend de plus en plus de place en médecine, elle tente désormais de se frayer un chemin en dermatologie. Son arrivée est bien vue par les dermatologues à condition qu'elle soit intégrée selon les règles de l'art.

Pendant longtemps, la culture de la recherche clinique n’a pas encouragé le partage des données et cela n’évolue que progressivement. La lourdeur réglementaire et les moyens humains requis pour partager les données dans de bonnes conditions peuvent aussi être un frein.

Alors que la contribution santé aux non-vaccinés envisagée par le gouvernement Legault fait beaucoup réagir tant dans la population que chez les travailleurs de la santé, les ordres professionnels refusent de se prononcer pour le moment.

En conférence de presse, mardi, le premier ministre François Legault a indiqué qu'il «travaillait sur une contribution santé qui sera chargée à tous les adultes au Québec qui refusent de se faire vacciner».

Alors que presque toutes les trousses de tests rapides pour le dépistage de la COVID-19 ont été écoulées dans les pharmacies, celles-ci devraient en recevoir d’autres en début de semaine prochaine.

Depuis le début la pandémie au Québec en mars 2020, les fédérations et l’ordre professionnel des médecins ont été fort occupés. L’année 2022 ne fera pas exception.

L’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (APES) a conclu une entente de principe avec le gouvernement du Québec sur les conditions de travail de ses 1700 membres.