Insurance

Les incitatifs financiers mis en place pour la prise en charge des patients vulnérables et non vulnérables n’ont pas donné les résultats escomptés. Une étude a mis en évidence le fait qu’ils n’étaient pas adaptés au contexte de pratique des médecins.

Après les pharmaciens propriétaires, c’est au tour des pharmaciens des établissements de santé de goûter à la médecine de Gaétan Barrette en vue du retour à l’équilibre budgétaire des finances publiques. L’APES est consternée.

Le bureau du premier ministre serait entré en contact avec l’ex-directeur général du CHUM pour le convaincre de rester en poste.

Avant de fermer ses portes le 31 mars prochain, l’Association québécoise d’établissements de santé vient de publier un rapport passé inaperçu. celui-ci suggère de mettre sur pied au plus tôt un véritable leadership clinico-administratif et conclut sur «la conviction profonde» que les acteurs du terrain sont les mieux placés pour trouver les remèdes aux maux du système.

Le projet de loi introduit une forme de despotisme vis-à-vis de la pratique des médecins, croit le professeur et chercheur Paul Lamarche. Non seulement cela va amplifier le risque de coévolutions potentielles néfastes, mais aussi accroître la bureaucratie.

La RAMQ a dévoilé les codes justificatifs qui devront accompagner, à compter du 24 avril, la mention «Ne pas substituer» sur les ordonnances des assurés du régime public d’assurance médicaments pour un remboursement sans excédent des médicaments innovateurs.

La RAMQ a dévoilé les codes justificatifs qui devront accompagner, à compter du 24 avril, la mention «Ne pas substituer» sur les ordonnances des assurés du régime public d’assurance médicaments pour un remboursement sans excédent des médicaments innovateurs.