Infectious Diseases

Comprendre leur mécanisme d’autodestruction pourrait mener à de nouvelles solutions thérapeutiques pour les patients résistants aux traitements antirétroviraux actuels.

La baisse de l'immunité à mesure que les vaccins s'estompent, la présence de nouveaux sous-variants et le fait que les gens seront davantage à l'intérieur à l'automne sont tous des facteurs qui joueront un rôle dans l'augmentation des cas.

Le virus respiratoire syncytial (VRS) est un virus saisonnier courant qui peut provoquer une maladie grave chez les personnes âgées (≥ 60 ans). Cependant, compte tenu du fait qu’à ce jour, le discours public sur le VRS s’est surtout concentré sur les nourrissons et les jeunes enfants, il y a souvent une méconnaissance du fardeau que représente le VRS au sein de la population adulte. Nous nous sommes entretenus avec le Dr Alan Kaplan de ce que, selon lui, les professionnels de la santé doivent savoir à propos du VRS chez les personnes âgées.

Le Groupe de travail sur l’immunité face à la COVID-19 (GTIC) a publié dans le CMAJ l’analyse évaluée par des pairs la plus complète des estimations de la séroprévalence à l’échelle du Canada.

Aucun antibiotique ne fonctionnait pour traiter l’infection à E. coli ultra-résistante d'une patiente. Face à cette impasse thérapeutique, un microbiologiste infectiologue a utilisé des bactériophages lors d'un essai clinique sur mesure et a traité avec succès l'infection.

À quelques mois de la prochaine mise à jour du vaccin, la recrudescence estivale des nouvelles hospitalisations peut sembler préoccupante, mais le nombre de patients est bien inférieur à ce qu'il était auparavant. Voici ce que nous savons.

Les personnes qui n’ont jamais développé la COVID-19 ont besoin de trois doses d’un vaccin à ARN pour que leurs anticorps égalent ceux d’une personne ayant reçu une vaccination à la suite d’une infection.

En 2019, si la population mondiale avait eu accès à un outil de diagnostic à la maison pour détecter le virus SRAS-CoV-2 en quelques minutes, la pandémie aurait-elle connu un dénouement plus heureux? Sara Mahshid, l’ingénieure derrière la technologie de dépistage QolorEX, est convaincue que oui.