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Pour y pallier, l'ordre propose d'ouvrir plus de places dans les deux facultés de pharmacie et d'augmenter le nombre d'admissions dans le programme de qualification destiné aux diplômés de l'étranger qui souhaitent pratiquer au Québec.

Premier établissement à offrir la greffe d'îlots de Langerhans au Québec, le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) vient d’obtenir sa désignation officielle par le ministère de la Santé et des Services sociaux pour ce traitement prometteur.

«Si nous ne plafonnons pas nos dépenses en matière de santé, la spirale des coûts remettra en cause la viabilité de notre système. Les médecins doivent réaliser qu’ils sont les gardiens d'une ressource limitée et précieuse.»

Le protocole de triage utilisé au Québec détecte à peine plus de la moitié des patients qui ont besoin d'un transport rapide vers un centre de traumatologie, précise l'étude, et ce sont les personnes âgées qui sont les plus susceptibles de souffrir de ces lacunes.

Des responsables fédéraux cherchent à savoir si les travailleurs de la santé canadiens pourraient faire face à des risques juridiques pour avoir fourni des services d'avortement aux Américaines à partir d'États où la procédure a été interdite.

Alors que les provinces reviendront à la charge pour réclamer une hausse récurrente et sans condition des transferts fédéraux en santé, pour les faire passer de 22% à 35% des coûts, le fédéral considère qu'il fait plus que sa part et veut discuter d'investissements ciblés pour l'avenir.

Patrick Bélanger affirme que son histoire doit servir de mise en garde pour les Québécois, puisque des médecins d'autres provinces pourraient refuser de traiter des Québécois en plaidant qu'ils ne seraient pas indemnisés.

«On est dans une période agréable de l'été, mais malheureusement, ça se passe à l'ombre d'une contamination qui s'accentue de nouveaux variants qui sont bien installés au Québec», selon Luc Boileau, en faisant référence aux variants BA.2.12.1, BA.4 et BA.5, qui sont nettement plus contagieux.