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Retrouvez ici tous les articles parus dans le journal Profession Santé de juillet 2016, en format HTML.

Saviez-vous que 50 000 clés USB permettant d’accéder aux informations du Dossier santé Québec (DSQ) avaient été distribuées dernièrement à des pharmaciens, des médecins et des infirmières, entre autres?

À l’université comme à l’hôpital, l’intimidation, c’est tolérance zéro. Mais qu’est-ce que l’intimidation au juste? Nous en avons discuté avec Nirvishi Jawaheer, pharmacienne propriétaire à Montréal, et la Dre Valérie Massey, résidente 1 en médecine interne à l’Université de Montréal. Toutes deux disent en avoir déjà souffert. Voici comment il est possible, selon elles, d’améliorer sa relation à autrui, qu’il soit patron, collègue ou patient.

Depuis le 1er juillet, certains assurés du régime public d’assurance médicaments (RPAM) voient leur contribution augmentée lorsqu’ils se présentent en pharmacie pour acheter des médicaments.

Alors qu’une nouvelle étude suggérant la présence de pharmaciens dans les urgences circulait sur les réseaux sociaux, plusieurs médecins se sont demandé si le Québec pouvait s’offrir ce «luxe». Pourtant, le ministère de la Santé recommande la disponibilité d’un pharmacien à l’urgence depuis 2006…

Le professeur italien Vincenzo Di Marzo, sommité en pharmacologie des endocannabinoïdes, dirigera cette première chaire au monde dédiée à l’étude du microbiote intestinal, notamment à ses altérations, à son influence sur l’inflammation liée à l’obésité et à son lien avec l’apparition du diabète de type 2 et des maladies cardiométaboliques.

Cette lettre a été rédigée par un groupe de médecins résidents en psychiatrie des quatre facultés de médecine. Elle est aussi signée par les directeurs de programme de spécialité et de surspécialité de psychiatrie. Elle a été envoyée au ministre de la Santé le 20 juin.

Le Dr Manuel Borod, directeur de la Division des programmes de soutien et de soins palliatifs du CUSM, aurait préféré rencontrer les journalistes pour discuter de soins palliatifs et du traitement de la douleur, dont le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) est un fleuron. Il a plutôt dû répéter que ses équipes ne sont pas contre l’aide médicale à mourir.