L’obstétrique-gynécologie à risque de saturation: «une situation temporaire»
Il y a une dizaine d’années, la province vivait un baby-boom et des femmes enceintes devaient s'armer de patience pour trouver un gynécologue-obstétricien ou un médecin de famille pour suivre leur grossesse et les accoucher. En 2017, la gynécologie-obstétrique figure dans la liste des spécialités à risque de saturation. Comment expliquer pareil renversement en moins d’une décennie?