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Seul un faible pourcentage des Canadiens qui ont reçu une aide médicale à mourir ont choisi de prendre eux-mêmes le cocktail de médicaments qui mettra fin à leur vie. Cela pourrait changer avec la disponibilité au Canada du sécobarbital, le médicament le plus utilisé pour l'aide médicale à mourir ailleurs dans le monde.

Lettre d'opinion du Dr Alain Naud

«Chez le fumeur hésitant, on peut agir et l'accompagner» | Est-on obligé de prendre du poids lorsque l'on arrête de fumer? | Des applis efficaces pour arrêter de fumer | Sept méthodes insolites pour arrêter de fumer

Article extrait de Info-Tabac N^o 125 - 12 octobre 2017

Un rapport provisoire dévoilé lors d'une conférence sur la gestion de la douleur à Calgary suggère que la meilleure façon de réduire la dépendance aux opioïdes est de tout simplement ne pas en prescrire.

Le coroner Luc Malouin soutient que chaque personne au Québec a la liberté de refuser qu'on lui administre un produit sanguin ou une transfusion sanguine, même si un tel refus peut l'exposer à une mort imminente.

Alors que le réseau de la santé a un urgent besoin d’infirmières, plusieurs d’entre elles peinent à se trouver du boulot, dénonce l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ).

Les médecins canadiens prescrivent trop d'antibiotiques et souvent à tort, selon l'Institut canadien d'information sur la santé (ICIS), qui tire la sonnette d'alarme. Le Dr Charles Bernard, président-directeur général du Collège des médecins du Québec, prend la situation très au sérieux mais admet que la surprescription d'antibiotiques est un phénomène difficile à contrôler.