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De nouveaux résultats d'étude clinique concernant la réponse des patients atteints de la COVID-19 et traités au remdésivir montrent que le médicament semble bel et bien efficace contre la maladie.

Le défi de la contagion par des personnes asymptomatiques, le besoin de rigueur scientifique malgré l'urgence, l'arrêt de la recherche sur d'autres maladies mortelles ... Voici un résumé de plusieurs recherches et articles scientifiques publiés ces derniers jours.

Cette décision a été prise pour des raisons de sécurité, en raison du nombre d'unités d'hospitalisation en éclosion de COVID-19 dans les établissements, et parce qu'il y a un nombre important de patients dans les lits de courte durée, a indiqué le CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal.

La santé publique recommencera sous peu des «sessions de dépistage» auprès de certains groupes de la population, pour «tester les situations d'éclosion qui pourraient arriver dans le milieu scolaire, en garderie ou dans le milieu économique et industriel», a expliqué le Dr Arruda.

La promesse des données précises, informatives et partagées est presque sans limites. Cependant, les données mondiales dont nous disposons sont en réalité inexactes, incomplètes, non divulguées, et parfois même, corrompues. Or, pour gagner la bataille, nous devons nous engager à échanger des données de manière transparente et ouverte.

La ministre de la Santé de l'Ontario affirme que selon un réseau hospitalier universitaire, 35 personnes pourraient être mortes pendant la pandémie parce que leur chirurgie cardiaque avait été reportée.

L'Agence de la santé publique du Canada s'attend à voir le nombre de cas se situer entre 53 000 et 67 000, et le nombre de décès fluctuer entre 3277 et 3883 en date du 5 mai.

La santé publique québécoise ne s'est pas montrée très chaude à l'idée de rouvrir les écoles et les services de garde à la petite enfance au moment même où le premier ministre associait le retour en classe et la quête d'une immunité collective, la semaine dernière. Dans un document en révision de l'INSPQ daté du 22 avril, le comité sur les mesures populationnelles indique en effet qu'une stratégie où le Québec laisserait les jeunes s’infecter s'avère risquée.