« Au moins, que les médecins pensent à soulever l’hypothèse psychologique ! Qu’ils s’efforcent de voir la part qu’elle peut occuper dans une maladie », dit Guy Corneau.
Alors que les sucres rapides représentent une part croissante dans l’apport calorique global, limiter leur ingestion de façon draconienne serait bénéfique au plan cardiovasculaire.
Sur le plan médical, les symptômes du patient sont maîtrisés, les tests sont bons, tout baigne en somme. Pourtant, le patient ne va pas bien, et l’on ne trouve rien à l’investigation.
Bien que les négociations avec le gouvernement aient progressé depuis une semaine, la Fédération interprofessionnelle fera fort probablement une demande de médiation cette semaine, tel que prévu.
On a amené les médecins à hausser légèrement le nombre d'heures de clinique et on a sorti les urgentologues de l'urgence pour qu'ils effectuent de la consultation médicale dans les points de service.