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Éditoriaux

  • Apocalypse postantibiotique

    La résistance aux antibiotiques, c’est comme les changements climatiques: vous êtes au fait des conséquences potentiellement catastrophiques du phénomène, mais vos actions pour le contrer vous donnent l’impression de chercher à inverser le cours des chutes du Niagara avec un verre d’eau.
  • Du changement, mais les mêmes valeurs

    Éditorial du numéro de janvier 2018 de Profession Santé
  • Profession à bout de souffle

    Éditorial du Québec Pharmacie de décembre 2017
  • Les Québécois obsédés par la santé?

    Depuis 40 ans, lors de quelques épisodes de récession économique, la santé colle au plafond des priorités de l’électorat québécois, sondage après sondage. Ce qui nous permet de poser la question suivante : les Québécois sont-ils pathologiquement obsédés par leur réseau de la santé?
  • Dosez vos arguments

    «Se faire jouer dans la poche sans notre consentement explicite heurte tout le monde, du petit salarié au PDG. Personne n’aime ça. Même si les récriminations fiscales des médecins et les complaintes commerciales des pharmaciens sont parfois raillées dans la presse et le public en général, elles ne demeurent pas moins tout à fait légitimes. Il faut en revanche que les médecins et les pharmaciens mesurent leurs interventions dans les débats publics que provoquent les intentions gouvernementales. Ne serait-ce que pour demeurer pertinents.»
  • Les raisons de la déraison

    Ce n’est pas d’hier que les théories du complot et les fausses rumeurs meublent le paysage. Si la plupart du temps elles demeuraient inoffensives, avec Internet, c’est un autre défi : elles ne sont plus une blague. Et si c’en est une, elle ne fait pas rire. Surtout qu’il y a la version hypocalorique des élucubrations complotistes : la désinformation, plus dangereuse parce que plus répandue, insidieuse et difficile à détecter. Des informations vraies, mais détournées de leur sens véritable.
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