L’industrie des soins virtuels privés connaît une croissance sans précédent depuis la pandémie de COVID-19. Un essor qui devrait se prolonger. Un nouveau règlement vient même de légitimer ses activités, en autorisant les médecins du réseau de la santé à travailler pour ces entreprises.
Décrypter les biosignatures spécifiques de la schizophrénie, de la bipolarité et de la dépression majeure grâce à un examen par électrorétinographie, dont les résultats sont disponibles en 12 heures: c’est la promesse de diaMentis.
Les autorités sanitaires américaines signalent deux nouveaux rappels de gouttes ophtalmiques en raison de risques de contamination pouvant entraîner des problèmes de vision et des blessures graves.
Pour la Dre Louise Caouette-Laberge, lauréate du Prix Irma-Levasseur remis mercredi par la FMSQ, il faut davantage mettre de l’avant qu’il est possible de réussir en médecine en tant que femme tout en ayant une vie familiale épanouie.
«Les médecins peuvent être en désaccord mais, dans le cadre des soins prodigués à ce patient, il semble que mon collègue se soit rendu coupable d'évitement du travail», croit le Dr Raj Waghmare.
Fermer les frontières à tous les voyageurs étrangers aura «significativement ralenti» la propagation de la COVID-19, contrairement aux fermetures partielles visant les pays où des éclosions étaient rapportées, une mesure qui a eu peu ou pas d'effet.
L'enzyme EXO1, qui est produite par le gène du même nom, permettrait de réparer les dommages causés à l'ADN par le formaldéhyde, une substance produite naturellement par l'organisme.
Selon la psychiatre, lauréate du Prix de la relève Marthe-Pelland remis mercredi par la FMSQ, le système de santé devrait faire une plus grande place aux valeurs féminines pour que les soins soient davantage humains.