Healthcare

Depuis l’adoption de la Loi sur la podiatrie, RLRQ, c. P-12, en 1973, la profession est en constante évolution.

Vous êtes pharmacien communautaire et opérez une hotte stérile pour la préparation de médicaments stériles. L’hôpital vous contacte pour savoir si vous êtes en mesure d’assurer la continuité des soins pour l’antibiothérapie que nécessitent les patients à leur sortie du centre hospitalier. Que répondez-vous ?

«Les médecins qui réussissent n’ont pas de vie perso», assène, résignée, la Dre Odile Kowalski. Cette leçon, la médecin de famille spécialisée en obstétrique l’a apprise à ses dépens.

Qu’il est difficile d’aimer, chantait Gilles Vigneault. Ce n’est certainement pas les professionnels de la santé qui diront le contraire, eux qui peinent à concilier couple et travail. Trois psychologues livrent leurs astuces pour surmonter les embûches propres à ces métiers prenants.

Ce n’est pas pour rien qu’on dit les professionnels de la santé mariés à leur travail. Entre les horaires à rallonge, la fatigue, la pression et les patients, leur vie amoureuse est souvent reléguée au second plan. Témoignages de cliniciens qui aspirent tant bien que mal à trouver l’harmonie.

Parce que la vie de couple est rarement dissociable de la vie intime, Profession Santé s’est entretenu avec la présidente de l’Ordre professionnel des sexologues du Québec, Joanie Heppell, pour comprendre l’impact des métiers de la santé sur le rapport des professionnels au désir et à leur corps. Et glaner au passage quelques conseils.

Présidente depuis 10 ans du regroupement Médecins québécois pour le régime public, la Dre Isabelle Leblanc combat l’idée voulant que le modèle de gestion privée constitue la solution miracle aux problèmes du réseau québécois de la santé. Pour elle, « c’est avant tout une question d’équité et de justice».

S’il n’a, à première vue, rien de pénible, le travail en pharmacie peut toutefois être source de douleurs et d’inconforts en raison d’une variété de postures statiques et de mouvements répétitifs.