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Après avoir porté en appel une décision rendue par la Cour supérieure du Québec concernant l’indemnisation de départ de quelque 1 300 gestionnaires, Gaétan Barrette ouvre un nouveau front.

La FIQ "est devenue big", tant en membership qu'en influence, et elle doit profiter du capital de sympathie dont elle jouit auprès du public pour améliorer les conditions dans le réseau de la santé. C'est le message qu'a livré la présidente de la FIQ, Régine Laurent, lundi, dans son discours d'ouverture devant les quelque 1000 congressistes réunies à Lévis.

Le projet de loi 148, qui prévoit un plafonnement à 50% de la valeur des achats de produits génériques par un pharmacien propriétaire auprès d’un même fabricant, a été adopté, jeudi, par l’Assemblée nationale.

Deux ans après l’entrée en vigueur de la loi 41, les embûches restent trop nombreuses pour que les nouvelles responsabilités professionnelles octroyées aux pharmaciens donnent des résultats tangibles. La loi 41 permet tout de même de mettre en place une solide assise sur laquelle reposera l’avenir de la profession : une plus grande autonomie des pharmaciens, mais toujours en partenariat avec les médecins.

Ouvrir ou racheter une officine dans un village de 2000 âmes ? Le pari peut paraître risqué. Plusieurs pharmaciens l’ont pourtant tenté au Québec, en sécurisant leur investissement grâce à leur proximité avec une coopérative de santé.

Le succès de la campagne Plus mieux guérir a permis à la Fondation CHU Sainte-Justine de se hisser au deuxième rang des fondations d’établissements de santé pour les sommes récoltées cette année, mais n’a toutefois pas permis de détrôner l’Hôpital général juif de Montréal. Voici la liste de celles qui ont amassé le plus d’argent du 1er avril 2016 au 31 mars 2017.

Les pharmaciens propriétaires et les bannières sont visés par les nouvelles règles établies par la loi 92. Ont-elles vraiment un impact significatif sur les pratiques commerciales, notamment la commandite d’événements? L'avis de Me Paul Frenet.

L’épuisement professionnel est un problème qui afflige l’ensemble du réseau de la santé et dont l’ampleur tendrait à croître en raison de la refonte des établissements de santé découlant de la loi 10. Pour Angelo Dos Santos Soares, professeur au département d’organisation et ressources humaines de l’UQÀM, le seul moyen d’arrêter cette saignée est de changer totalement de philosophie de gestion.