Oncologie

Une récente étude publiée aux États-Unis menée sur plus de 10 000 femmes dont les tumeurs avaient été testées a démontré que la plupart des patientes atteintes d'un cancer précoce à récepteurs d'oestrogène positifs et sans ganglion devraient être capables d'éviter la chimiothérapie.

Le microbiote pourrait être considéré comme une nouvelle cible en immuno-oncologie et mener au développement de nouvelles avenues thérapeutiques pour les patients atteints de cancer. C’est du moins ce prétend un groupe de chercheurs français et américains, dont fait partie le Dr Bertrand Routy

Un chercheur ayant conçu un test qui vérifie si les enfants sont vulnérables aux effets secondaires potentiellement mortels de trois médicaments de chimiothérapie se concentre maintenant sur cinq autres substances pour permettre aux parents et aux médecins d'avoir une discussion plus éclairée.

Une équipe de chercheurs de l’Institut de recherches cliniques de Montréal a mis au jour une protéine qui, une fois désactivée, pourrait empêcher les métastases de se développer en une forme particulièrement virulente de cancer du sein, le type HER2 positif.

En janvier dernier, l’INESSS recommandait que les médecins n’utilisent pas de façon systématique le dosage de l’APS pour le dépistage du cancer de la prostate. Il met maintenant à leur disposition un outil d’aide à la prise de décision.

Si elle fait encore peur à plusieurs personnes en raison des nombreux effets indésirables qu’elle entraîne et de sa mauvaise presse, la chimiothérapie est, la plupart du temps, acceptée par les patients, constate Marie-Claude Gagnon qui, en tant que bénévole pour la Société canadienne du cancer, parle avec plusieurs personnes qui ont la maladie.

Pièce maîtresse de l’arsenal thérapeutique contre le cancer, la chimiothérapie divise, même parmi les oncologues. Sa pertinence clinique contre certains types de cancer est aujourd’hui remise en question par un nombre grandissant de chercheurs américains. Et si, à ce chapitre, le Québec montrait la voie au reste du monde?

À la suite de résultats de recherche convaincants, des chercheurs américains suggèrent désormais l'immunothérapie comme traitement de première intention contre le cancer du poumon.