Chez les sujets débutant une maladie d’Alzheimer, on observe une réduction de la masse maigre corporelle et du volume du cerveau qui s’accélère avec l’évolution de la démence. Une étude transversale cas-témoins le confirme.
Des manipulations génétiques ont permis à un chercheur de McGill de «créer» chez ce rongeur des conditions imitant la maladie d’Alzheimer chez l’humain.
L’Institut Douglas lance un projet de recherche pour évaluer l’efficacité de la remédiation cognitive en vue de retarder l’apparition de la maladie d’Alzheimer.