Santé Canada examine l'innocuité des contraceptifs oraux contenant de la drospirénone pour évaluer le potentiel d'un risque accru de thromboembolie veineuse.
C'est par erreur que le fabricant a demandé à l'INESSS de retirer ce produit contre la xérostomie des deux listes de médicaments du gouvernement du Québec.
L'étude de l'efficacité et l'approbation des médicaments anticancéreux devraient être améliorées grâce à une nouvelle façon de procéder qui vient d'être annoncée par Québec.
