Artificial Intelligence

Décrypter les biosignatures spécifiques de la schizophrénie, de la bipolarité et de la dépression majeure grâce à un examen par électrorétinographie, dont les résultats sont disponibles en 12 heures: c’est la promesse de diaMentis.

Grâce à cet outil, les médecins pourraient prédire les effets d'un opioïde sur les patients et leur éviter des visites inutiles aux urgences ou même la mort dans les 30 jours suivant le début du traitement.

En étudiant ce qu'on appelle le syndrome de l'X fragile, l'équipe de Roberto Araya a constaté que les signaux sensoriels qui proviennent du monde extérieur sont sous-représentés dans le cerveau, alors qu'on croyait jusqu'à présent qu'ils étaient surreprésentés.

Les personnes âgées ont besoin de plus de temps pour analyser l'information visuelle qu'elles recueillent. Cela signifie que leur attention est détournée des obstacles qui pourraient se trouver sur leur route.

Des études «post-GWAS» ont mis en évidence le rôle de gènes en interaction dans la physiopathologie de maladies et ont révélé de nouvelles cibles thérapeutiques.

Un nouvel outil développé par des chercheurs des universités Laval et McGill permettrait de déterminer avec une précision d'environ 95% le risque de voir le cancer réapparaître chez un patient qui a subi une résection d'une tumeur pulmonaire.

De plus en plus d’études suggèrent qu’elle pourrait améliorer le bien-être et la santé mentale dans le vieillissement, et notamment réduire les risques de développer une maladie neurodégénérative.

Les organes sur puce ont le potentiel de permettre des percées dans la découverte de médicaments et de mieux comprendre le fonctionnement des organes, en plus de permettre de sortir le modèle du développement en laboratoire.