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Devant des inquiétudes soulevées par des médecins, Santé Canada a procédé à un examen d'innocuité pour vérifier si la dysfonction sexuelle pourrait persister, s'aggraver ou survenir même après l'arrêt du traitement par ISRS ou IRSN.

Les Québécois pourraient devoir attendre jusqu'à 90 jours avant de recevoir leur deuxième dose de vaccin contre la COVID-19, a fait savoir la Santé publique du Québec, jeudi.

Certains patients et professionnels de la santé se demandent s'il est sécuritaire pour les patients sous anticoagulants oraux de recevoir le vaccin contre la COVID-19. Une part de cette incertitude provient sans doute des mises en garde dans les monographies de produit des vaccins de Pfizer-BioNTech et Moderna.

Le Comité consultatif national de l’immunisation a conclu mardi que la deuxième dose des vaccins contre la COVID-19 distribués au Canada présentement devrait être administrée maximum six semaines après la première, soit un délai un peu plus long que celui préconisé par Pfizer-BioNtech et Moderna pour leurs vaccins respectifs. Qu'en sera-t-il au Québec?

Une molécule utilisée depuis des années dans le traitement du cholestérol pourrait se révéler utile dans la lutte contre le coronavirus en interférant avec la réplication du SRAS-CoV-2, croient des chercheurs de l'Institut de cardiologie de Montréal.

L'arrivée en très peu de temps de plusieurs vaccins contre la COVID-19 a alimenté l'espoir d'une fin prochaine de la pandémie, mais il reste à savoir pendant combien de temps les gens seront ensuite protégés contre ce nouveau coronavirus.

Dans le contexte actuel, une protection de six ou huit semaines après une seule dose, même si elle est un peu moindre, est probablement préférable à une protection maximale après deux doses, estiment les experts.

Des études préliminaires portent à croire que le vaccin de Pfizer contre la COVID-19 protégerait efficacement contre deux variants très contagieux du virus qui ont fait surface au Royaume-Uni et en Afrique du Sud.